Elysium
code couleur exclusif au fonctionnement d'Elysium.

Écoles de magie (11 à 17 ans) Deux écoles de magie se font face, incarnant des mondes sociaux opposés. Eldermoor, élitiste et prestigieuse, attire les enfants de familles aisées. Alderney incarne l'accessibilité et l'opportunité, s'adressant aux plus modestes.

enfants arraché·e·s à leur monde très tôt ou adultes en proie à une contamination bien plus tard, il leur est possible d'accéder à des cours théoriques à partir de 11 ans dans lesquels iels ne sont pas réparti·e·s en fonction de leur âge, mais bien de leur arrivée dans le monde magique. exempté·e·s des cours nécessitant une baguette dont iels sont dépourvu·e·s, leur sont dispensés des enseignements théoriques obligatoires tels que l'histoire de la magie pour faciliter leur intégration dans ce monde inconnu. les écoles s'engagent aussi à leur offrir l'accès aux clubs cohérents avec leur magie — favorisant davantage leur insertion dans la société.

La rivalité entre elles est séculaire et les relations, rythmées par des tournois et olympiades inter-écoles, sont extrêmement compétitives. Tout est prétexte à prouver la grandeur de son camp que ce soit du côté enseignement, notes, diplômes, qualité professorale, beauté des lieux, ou sportive — notamment sur le terrain de Quidditch, où les affrontements sont plus difficiles encore et parfois même violents.

Clubs (non exhaustifs)

création (stylisme sorcier) : compétitions régulières et défilé annuel
quidditch (plusieurs équipes par école ; une officielle formée des meilleur·e·s joueur·se·s pour confronter l'école adverse)
cheerleaders (une team par équipe)
smartchery
équitation
hexed volley
duel
Neferis
code couleur exclusif au fonctionnement de Neferis.

Secondaire pour sorcier·e·s et moldu·e·s (11 à 17 ans) À Thorncrest les cours se partagent dans une harmonie fragile : si une partie de la journée les enseignements sont communs (matières classiques & cours de morale sur les dangers de la magie), l'après-midi, les sorcier·e·s apprennent à "servir le bien commun" : les leçons sont dispensées par des enseignant·e·s sorcier·e·s soumis aux directives des autorités moldues — uniquement axées sur la magie inofensive, la technomagie et les soins.

Les Vélanes, Harpies et Sirènes n'étant pas supposé·e·s exister, iels n'ont le droit qu'à des cours clandestins. Iels y apprennent la magie, et sont rejoint·e·s hors des heures de cours de l'institut par les autres élèves afin de suivre un apprentissage plus complet, interdit. Les lieux de cours clandestins sont aléatoires et constamment changeants.

Pour former plus efficacement les sorcier·e·s à la magie sans blessures physiques pouvant mettre à mal le secret des cours, la communauté a créé des rooms secrètes et illégales sur Mirror, dites backdoors, seuls espaces virtuels où les baguettes se connectent en même temps que le corps et l'esprit. Tous types d'apprentissages sont ainsi rendus possibles (sports sorciers, duel avancé, etc). Le matériel est loué à des cafés VR affiliés ou légué en seconde main par des sorcier·e·s les soutenant.
Formations adultes
18 ans et plus Une fois diplômé·e·s de leur école de magie respective, les jeunes sorcier·e·s d'Elysium ou de Neferis peuvent s'arrêter là dans leurs études, ou bien se lancer dans une nouvelle étape de leur formation : l'apprentissage sur le terrain. Tantôt sous-payé·e·s, tantôt bénévoles, iels embrassent des rôles d'apprenti·e·s dans divers secteurs de la société magique. Les matinées sont ainsi consacrées à l'acquisition de connaissances théoriques approfondies, grâce à des cours dispensés dans quelques amphithéâtres de la structure les accueillant, et le reste de la journée dédié à l'observation ou à la mise en pratique de ces enseignements sur le terrain. Si à Elysium, les domaines sont étendus et riches en opportunités, du côté de Neferis on trouvera davantage de formations contrôlées par les moldu·e·s et axées sur le côté utilitaire de leur magie. Une liste des différents domaines de chaque dimension peut-être observée dans le listing des métiers.
Traceur·se·s
traceur·se·s (elysium) / traceur·se·s de prime (neferis) La formation de traceur·se dure 2 ans. Accessible à partir de 18 ans, elle n’existe à ce jour pas à Neferis, le gouvernement moldu n’étant pas au courant des contaminé·e·s. Les formations se font donc exclusivement à Elysium. Les Neferisien·enne·s travaillent alors dans l’illégalité et sont appelé·e·s traceur·e·s de prime, rémunéré·e·s par Elysium si contrat et/ou missionné·e·s par des particuliers de chez elleux.

Si les matinées sont théoriques au Magisterium, les après-midi sont sur le terrain, encadrées par un·e mentor·e qui le·a guide tout au long de son cursus, l’amenant lors de ses traques mais aussi lors du potentiel suivi de ses contaminé·e·s. Métier de terrain, il demande une bonne adaptabilité, une grande réactivité et des prédispositions dans les matières physiques, offensives et défensives.

Ce dernier se compose de plusieurs points clés :

La traque — parfois aidée par les visions d’oracles de terre. Chaque traceur·se se voit apposer une rune gravée à même la peau comme un tatouage, activée et désactivée d’un informulé. Elle permet au/à la traceur·se de voir les auras de tout un chacun, celle des contaminé·e·s étant plus sombre : aucune erreur possible.
La marque — rune Elhaz apposée à même leur chair, les liant irrémédiablement. Canal de communication entre le·a traceur·se et le·a tracé·e, le·a tracé·e pouvant appeler le·a traceur·se à ses côtés en dessinant du bout des doigts la rune. Elle sert également de “passe-partout”, les barrières du monde magique s’ouvrant pour lui laisser l’accès.
Surveillance & protection — autant dudit/de ladite tracé·e que de la population moldue et sorcière. Les rendez-vous au Greenstone Temple auprès de leur oracle de terre sont néanmoins interdits aux traceur·se·s (secret médical oblige et parce que les temples sont une zone non politisée).
Les rapports — suivi obligatoire, souvent refourgué aux apprenti·e·s. Le·s traceur·se de prime ne rendent de compte qu'à leurs employeur·e·s ponctuel·le·s.


Dragonnier·e·s
Armée de l'air d'Elysium La formation de dragonnier dure 5 ans et permet d'intégrer l'armée de l'air d'Elysium. Accessible à partir de dix-huit ans, il s’agit d’une formation éprouvante, tant physiquement que mentalement pour ces apprentis soldats se retrouvant régulièrement confrontés aux terribles wyrms et autres monstres nés des vortex générés par Aevrayth, le dévoreur de mondes (cf. bestiaire). La défense de l'île contre ces créatures reposant principalement sur l'armée de l'air, des tests d’endurance physique et mentaux doivent être passés avant de s’inscrire aux sélections. Les déserteurs existent, mais sont particulièrement méprisés par la société.

La selection passe par des épreuves au cours de l’été (sessions entre juillet et août), test aléatoire et défini par un jury du haut-commandement dragonnier. À la suite de cette selection au tri mortel, l’école des Dragonniers vous ouvre alors ses portes pour une première année alliant théorie, renforcement musculaire, combat et stratégie.

Un second examen à lieu à la fin de la première année pour accéder au rite du lien se déroulant en septembre. C'est à ce moment-là que les aspirant·e·s dragonnier·ères se rendront dans la clairière dans l'espoir de se lier. Si le·a dragonier·re peut avoir ses préférences, il est important de garder à l’esprit que c’est le dragon qui choisit sa·on dragonier·re — et élimine celleux qu'il ne considère pas à la hauteur.

Le lien entre dragon et dragonnier :

connexion particulière entre le dragon et sa·on dragonier·re — canal de télépathie, le lien se fortifie et évolue constamment.
si le·a dragonnier·ère a une âme destinée également dragonnier·ère, le canal de télépathie s'étend à sa moitié. néanmoins l'allégeance du dragon reste vouée à sa·on élu·e.
vies se retrouvent liées intrinsèquement — les douleurs de l’un·e et de l’autre sont ressenties.
lien affectif intense — il est rare de réussir à sauver un dragon endeuillé de sa·on dragonnier·ère, et vice versa, mais une nouvelle connexion/survie n’est pas impossible.
Dompteur·se·s de monstres
dompteur·se·s de créatures magiques La formation de "dompteur·se de monstres", financée par le ministère de manière à sécuriser la ville, dure 5 ans. Accessible à partir de dix-huit ans (âge minimum requis pour passer l'épreuve de sélection), il est possible de postuler plus tard si réorientation.

Trois ans sont nécessaires pour se voir attribuer le titre de "dompteur·se" au cours desquelles, les apprenti·e·s seront amenés à compléter autant leurs connaissances qu'améliorer leurs performances au Bastion Wall. Si les deux premières années se veulent davantage théoriques — nécessité de connaître les différentes espèces et leurs comportements, les salles d'entraînements sont pour autant disponibles pour mettre à profit les connaissances acquises au travers de diverses simulations. Ce n'est qu'à partir de la troisième année que les apprenti·e·s sont recrutés pour des tours de garde impliquant alors de passer la nuit sur place et de rester alerte en cas de signalement.

Les deux années suivantes sont monitorées par un·e dompteur·euse aguerri·e attribué·e à chaque bastion (quatuor) pour améliorer leurs connaissances du terrain avant d'être considéré·e·s autonomes.

Soudé·e·s entre elleux, les apprenti·e·s dompteur·se·s de monstres passent énormément de temps ensemble en dehors de leur apprentissage — que ce soit pour renforcer les liens et/ou décompresser de leurs épopées périlleuses. Généralement réparti·e·s en bastion de quatre personnes, ils passent la majorité de leurs missions avec les mêmes partenaires sauf en cas de ralliement avec d'autres équipes pour les cas plus épineux.


Gardienne·se·s
chasseur·se·s de fantômes La formation de Guardians of Haunted and Otherworldly Spectral Threats (GHOST), ou gardien·ne, est dispensée à G.H.O.S.T Institute (où se déroule ensuite la carrière). Elle consiste à traquer les fantômes de Neferis et les guider vers Ether Realm. Accessible dès 18 ans, elle dure 3 ans. Elle est légale et financée par le Ministère, aboutissant à un poste au département de régulation de la magie.

La sélection implique des tests psychomagiques rigoureux pour évaluer la capacité à gérer la peur et la pression, ainsi que des tests de compétences en ingénierie et technomagie et de la sensibilité aux phénomènes paranormaux.

L'apprentissage commence par la gestion des différents degrés d'agressivité auxquels iels seront plus tard confronté·e·s. Les matinées formation impliquent la maîtrise des outils innovants existant pour capturer et neutraliser les esprits rebelles, la potentielle création de sortilèges et d'armes anti-fantômes personnalisés, l'apprentissage des techniques de survie et d'autodéfense et le conditionnement physique pour les missions prolongées. Les après-midi sur le terrain, dès la première année, se font en pairing avec différent·e·s gardien·ne·s agréé·e·s dont iels bénéficient ainsi de leurs techniques spécifiques. Leurs excursions sont cantonnées au repérage, à l'observation sur des missions mineures, à la rédaction de rapports et à l'entretien de la ribambelle de détecteurs, armes et pièges dont iels chargent et déchargent les coffres des voitures de fonction. Dès la deuxième année, leur participation se fait plus active et les missions plus complexes ; et la troisième année est un examen permanent de leurs performances dans des situations plus intenses. Il leur faut obtenir plus de 70% de succès en mission pour se voir dispenser leur titre de chasseur·se·s.

À terme, les missions se font seul·e, à deux (cas fréquent) ou à plusieurs (cas graves), avec des partenaires non fixes, bien que les affinités puissent être entendues suivant l'humeur des supérieurs.